Le vide ne peut blesser le vide ; ce qui est sans qualité ne peut blesser ce qui est sans qualité.

Un grand sujet de focalisation de la méditation sur la vacuité est la vacuité du moi – celle d’autrui aussi, bien sûr, mais la vacuité du moi est absolument essentielle : comment j’existe.

C'est pourquoi le bouddhisme enseigne la vacuité (suññata) - l'absence de « je », de « mien » - qui transcende le meilleur.

C'est pourquoi le bouddhisme enseigne la vacuité (suññata) - l'absence de « je », de «mien» - qui transcende le meilleur.

Or on ne peut pas dire que la vacuité produise quoi que ce soit hormis la conscience de la vacuité, la conscience que mes projections sont des exagérations.

Nous arrivons maintenant à tous les enseignements bouddhiques sur la vacuité (le vide), que nous parlions en termes de vacuité du soi ou de la personne ou en termes de vacuité de tous les phénomènes.

Ce Vide n'est pas de la nature du vide du néant, mais un Vide dont la vraie nature t'impressionnera et devant lequel ton esprit brille clairement et plus lucidement.

C'est pourquoi le bouddhisme enseigne la vacuité (suññata) - l'absence de « je », de «mien» - qui transcende le meilleur.

C'est pourquoi le bouddhisme enseigne la vacuité (suññata) - l'absence de « je », de « mien » - qui transcende le meilleur.

La réalité est aussi appelée vide, le vide étant l’opposé du monde solide et concret imaginé par l’ego.

Il s’agit de niveaux de plus en plus élevés de vacuité qui atteignent leur sommet avec le nibbāna que l’on appelle la suprême vacuité.

Comprendre la vacuité pour déconstruire nos projections

Il ne reste que la vacuité suprême qui est le Nibbana.

La vacuité réfute l'extrême de la non-existence.

Telle est la conscience discriminante du vide (de la vacuité).