Ancre amincie pour greffe de tendon, employée lors d'une intervention chirurgicale reconstructrice avec greffe de tendon.

Figure 2: technique de House (greffe de tendon implantée)

L'invention concerne également des procédés de fixation d'une greffe de tendon dans un tunnel osseux.

En particulier où la greffe du tendon rotulien a été prise.

L'invention concerne un auxiliaire de greffe du tendon comprenant une feuille ou un tube perméable aux fluides et non adhésif, formé par exemple dans une matière de silicone enveloppant le tendon pendant la pose de la greffe.

La présente invention concerne les éléments d'aide à la restauration d'un tendon fléchisseur, notamment d'un doigt (2) d'une main (3), par une auto-greffe tendineuse ou analogue.

La greffe peut également être réalisée à partir de donneur décédé.

C’est résultats ont poussé les chirurgiens à trouver des techniques de réparation ligamentaire par greffe tendineuse.

Des modes de réalisation de l'invention sont particulièrement, mais non exclusivement, appropriés pour collecter des parties osseuses destinées à la chirurgie de greffe, en particulier, des greffes du tendon rotulien.

Pour éviter cela, nous employons une méthode particulière de recueil du greffon de tendon rotulien.

La greffe de tendon peut provenir de la personne (autogreffe) ou d'un donneur d'organe (allogreffe).

Une greffe de tendon peut être fixée à l'élément d'insertion (14), soit avant, soit après sa mise en place dans l'élément de stabilisation (15).

Avec la technique de House (voir figure 2), on implante une greffe de tendon, c.-à-d. le propre tendon d'un doigt d'un muscle fléchisseur paralysé.

Ils ont également constaté que, par rapport au groupe témoin de souris, ceux qui recevaient les greffes de tendon Gdf5 avaient un tissu plus organisé qui s’intégrait à la greffe de tendon.

Enfin, les chercheurs ont découvert que les souris recevant la greffe de tendon portant le gène Gdf5 avaient une flexibilité articulaire améliorée et une meilleure fonction tendineuse que celles portant le gène «témoin».