La raquette peut être fabriquée de n’importe quel matériau considéré sécuritaire.

Par conséquent, on peut modifier la configuration du cordage sans remplacer le cadre de la raquette.

Normalement, ce bloc comprimé s'engage dans quatre cordes adjacentes des deux ensembles de corde, ou dans trois cordes et le cadre de la raquette.

Un cadre de raquette (10), par exemple une raquette de tennis, possède une partie tête (12), une partie manche (16) et une partie gorge (14) s'étendant entre les parties tête et manche (12, 16) et les reliant.

Dans une variante, des blocs de retenue sont montés pivotants sur les deux surfaces en V de l'élément porteur et jouent le rôle d'éléments de contact avec le cadre de la raquette.

Un second élément de serrage (20) opposé au premier (18) peut être utilisé pour maintenir les deux extrémités du cadre (16) de la raquette et créer des points de contact supplémentaires le long de la partie extérieure du cadre (16).

Une machine universelle à corder possède une paire de montants (14, 16) ayant des éléments porteurs opposés et en forme de V (40) qui entrent en contact avec les surfaces intérieures et opposées du cadre d'une raquette.

On tend certaines parties de la corde autour du bord externe d'une raquette sans âme dotée d'une gorge circonférentielle externe.

Durant ce processus, un mécanisme à moteur commandé électroniquement tient l'extrémité détendue de la corde et lui applique une tension au fur et à mesure qu'il la guide dans son déplacement l'éloignant du cadre de la raquette.

On peut, le cas échéant, tendre davantage les parties lâches de la corde situées sur ladite circonférence du cadre, à l'aide d'un élément tendeur permettant un réglage de la tension de la corde lorsque celle-ci est tendue.