L'invention concerne des paramyxovirus recombinants infectieux à autoréplication.
Un procédé de propagation de paramyxovirus au moyen d'une lignée cellulaire continue telle que NCI-H292(HUT-292), offre une solution autre que celle des cellules MK (cellules de rein de singe) pour l'isolation et la propagation de paramyxovirus humains.
L'invention concerne également des virus Sendai recombinants codant pour des antigènes obtenus à partir de paramyxovirus pathogènes.
Le procédé est utile pour inactiver des virus tels que les orthomyxovirus, paramyxovirus, coronavirus et rétrovirus.
Ces séquences codent des protéines virales qui présentent une similarité avec des protéines virales identifiées dans d'autres paramyxovirus connus et caractérisés.
Le genre Ferlavirus, un paramyxovirus a également été détecté chez Testudo graeca.
L'invention concerne un polynucléotide codant pour la grande sous-unité (L) de la polymérase des paramyxovirus de type RSVB ainsi que le polypeptide codé par ledit polynucléotide.
Ici, les inventeurs fournissent la description technique pour la génération de paramyxovirus défectueux en MTase utiles en tant qu'immunogènes, ainsi que des matériels et méthodes associés.
Les paramyxovirus peuvent également infecter les non-mammifères, mais on en sait peu sur eux, selon Drosten.
Les résultats ont impliqué des chauves-souris en tant qu'hôtes ancestraux de deux sous-familles principales parmi les paramyxovirus.
Ils portent, de préférence, une ou plusieurs mutations d'atténuation et/ou au moins une mutation sensible à la température et une mutation non sensible à la température.
Les procédés se basent sur la découverte que les protéines d'induction de la fusion et d'hémagglutination des paramyxovirus ont une interaction et forment un complexe dénommé HN:F qui est une condition préalable à la fusion cellulaire.
Du côté de virus à ARN, les principales familles comprennent les picornavirus (y compris les rhinovirus), calcivirus, les paramyxovirus, les orthomyxovirus, les rhabdovirus, les filovirus et les rétrovirus.
La présente invention concerne des procédés et des réactifs utiles à abaisser le niveau de ou la sévérité d'une maladie ou infection respiratoire causée par les paramyxovirus, comme par exemple le RSV ou le HPIV, ou l'infection coronavirus.
Des lésions cutanées secondaires peuvent être vues dans les infections par les familles virales telles que des paramyxoviruses, des togaviruses, des retroviruses, des picornavirus et des parvoviruses.
Ce mécanisme essentiel semble en effet être conservé chez les Paramyxoviridae, la famille à laquelle appartient le virus de la rougeole3, mais aussi le virus des oreillons ou le virus de Nipah.
La présente invention a également trait à une lignée cellulaire dans laquelle ladite glycoprotéine fusogène est d'origine virale choisie parmi le groupe constitué des orthomyxovirus, des rhabdovirus, des rétrovirus, des paramyxovirus, et des poxvirus.
Ce mécanisme essentiel semble en effet être conservé chez les Paramyxoviridae, la famille à laquelle appartient le virus de la rougeole [1], mais aussi le virus des oreillons ou le virus de Nipah.
Du côté de virus à ARN, les principales familles comprennent les picornavirus (y compris les rhinovirus), calcivirus, les paramyxovirus, les orthomyxovirus, les rhabdovirus, les filovirus et les rétrovirus.
Drosten et l'équipe internationale ont construit un arbre phylogénétique, ou famille, pour les paramyxovirus, en utilisant les informations génétiques de ceux qu'ils ont trouvés ainsi que de ceux déjà connus.
Maladie infectieuse et contagieuse, généralement bénigne, immunisante, causée par un virus de la famille des Paramyxoviridae (genre Morbillivirus), qui affecte surtout les enfants et qui se transmet directement.
Ce mécanisme essentiel semble en effet être conservé chez les Paramyxoviridae, la famille à laquelle appartient le virus de la rougeole, mais aussi le virus des oreillons ou le virus de Nipah.
Ce mécanisme essentiel semble en effet être conservé chez les Paramyxoviridae, la famille à laquelle appartient le virus de la rougeole[3], mais aussi le virus des oreillons ou le virus de Nipah.
Plusieurs autres maladies infectieuses sont causées par des paramyxovirus, oreillons est dans le genre rubulavirus, avec la Tioman virus, un virus qui provoque un gonflement du cerveau connue comme l’encéphalopathie.
La rougeole est causée par un virus de la famille des paramyxovirus qui pénètre dans l’organisme par le système respiratoire et se loge dans les cellules immunitaires du poumon pour s’y multiplier.
Requêtes fréquentes anglais :1-200, -1k, -2k, -3k, -4k, -5k, -7k, -10k, -20k, -40k, -100k, -200k, -500k, -1000k,
Requêtes fréquentes français :1-200, -1k, -2k, -3k, -4k, -5k, -7k, -10k, -20k, -40k, -100k, -200k, -500k, -1000k,
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