De préférence, la buse centrale à oxygène (23) a la forme d'une tuyère de Laval.

La buse utilisée pour l'invention s'assimile donc à une buse de Laval.

Le bec périphérique diffuseur d'oxygène (20, 120) a la forme d'un bec diffuseur de type Laval ou, s'il est de forme annulaire, comporte la même variation de section transversale sur toute sa longueur qu'unbec de type Laval.

Dans certains modes de réalisation, la tuyère (108) a une géométrie de tuyère de Laval convergente-divergente bidimensionnelle.

Le premier gaz est préchauffé en amont de la tuyère de Laval (20).

L'orifice de décharge des lances est de préférence conçu comme une tuyère de laval.

Ce jet de matière fondue est accompagné d'un flux gazeux de préférence «froid» que la tuyère de Laval accélère jusque dans le domaine de vitesse supersonique, un éclatement se produisant derrière la tuyère de Laval.

En aval de la tuyère on a monté deux ou plusieurs étages de pales de rotor.

Dans les dispositifs électriques de refroidissement (205), on utilise une buse de Laval pour obtenir un effet de refroidissement.

L'injection des particules pulvérisées se produit dans la section divergente de la tuyère de Laval.

En amont de la tuyère Laval on a monté un ou plusieurs étages de compresseur qui créent la pression nécessaire du flux d’air en amont de la tuyère.

A cet effet, et conformément à l'invention, un tube à poudre et un corps de tuyère externe forment conjointement une tuyère de Laval qui produit les vitesses élevées du courant gazeux.

Dans ladite chambre de réception (2) est montée coaxialement une tuyère de Laval (5) ouverte sur l'atmosphère extérieure.

L'invention vise à créer une buse de coupe (1) à mélange de gaz stable et offrant un meilleur rendement.

A cet effet, la buse de Laval (5) débouchant dans l'évidement (9) de la tête de buse (8) est réalisée sous la forme d'une buse à jet parallèle.