La Hongrie refuse de coopérer avec ses voisins européens et s’oppose au développement de l’approche hotspot sur son territoire13.

L’Italie et la Grèce sont les deux premiers États membres où cette approche est actuellement mise en œuvre.

L'Italie et la Grèce sont les deux premiers États membres où l'approche dite des "hotspots" est mise en application.

Dans le cadre de l’approche des centres de crise, les nouveaux arrivants en Italie sont évalués, l’idée étant de distinguer les demandeurs et demandeuses d’asile de ceux qui sont considérés comme des migrants en situation irrégulière.

Dans le cadre de l'approche des centres de crise, les nouveaux arrivants en Italie sont évalués, l'idée étant de distinguer les demandeurs et demandeuses d'asile de ceux qui sont considérés comme des migrants en situation irrégulière.

Les mécanismes de tri de l’approche hotspot (cf. Note Migreurop #4) relèvent aussi de ce processus.

Avec les centres de crise, les nouveaux arrivants en Italie sont évalués, l’idée étant de distinguer les demandeurs d’asile de ceux qui sont considérés comme des migrants en situation irrégulière.

L’approche des points d’accès, conçue par Bruxelles et mise en œuvre en Italie, a accru, pas réduit, les pressions pesant sur les États en première ligne.

Selon l’approche des centres de crise, introduite en 2015 sur la recommandation de la Commission européenne, l’Italie est tenue de relever les empreintes digitales de tous les nouveaux arrivants.

L'approche des points d'accès, conçue par Bruxelles et mise en œuvre en Italie, a accru, pas réduit, les pressions pesant sur les États en première ligne.

Amnesty rappelle que selon l’approche des centres de crise, introduite en 2015 sur recommandation de la Commission européenne, l’Italie est tenue de relever les empreintes digitales de tous les nouveaux arrivants.

Selon l'approche des centres de crise, introduite en 2015 sur la recommandation de la Commission européenne, l'Italie est tenue de relever les empreintes digitales de tous les nouveaux arrivants.

Pensée à Bruxelles et mise en place en Italie, la politique des « hotspots » se traduit par des violations déplorables des droits de personnes parmi les plus vulnérables.

En septembre, la mise en œuvre de l’approche dite des hotspots a débuté en Grèce et en Italie, avec le soutien de la Commission, de Frontex et de l’EASO.

En septembre, la mise en œuvre de l'approche dite des hotspots a débuté en Grèce et en Italie, avec le soutien de la Commission, de Frontex et de l'EASO.