Ce dysfonctionnement s’appelle dépression corticale propagée.

Dépression De Propagation Corticale Enregistré Du Cerveau Humain à L'aide D'un Système De Surveillance Multiparamétrique Brain Research.

Les dernières recherches sur la migraine ont abouti à un mécanisme appelé dépression de propagation corticale, ou CDD.

Les composés indoliques décrits ici peuvent également être utilisés pour le traitement ou la prévention de la dépression corticale propagée (DCP) ou l'allodynie tactile.

Les dernières recherches sur la migraine ont abouti à un mécanisme appelé dépression de propagation corticale, ou CDD.

Leao dépression de propagation corticale (SD) a été rapportée chez beaucoup d'animaux expérimentaux, mais pas dans le cortex cérébral humain.

L'invention concerne un procédé de traitement de la migraine, plus particulièrement de migraines provoquées par une dépression propagée corticale, avec une quantité efficace d'un antagoniste du récepteur de NMDA à faible affinité.

CSD (cortical spreading depression) est un phénomène électrique qui se développe sur le cortex cérébrale à partir de la région occipitale et qui précède la crise de migraine.

Le manque de magnésium pourrait promouvoir une dépression corticale, hyperaggregation des plaquettes, affecter le fonctionnement des récepteurs à la sérotonine, et la synthèse et la libération de nombreux neurotransmetteurs.

Les phases d'hyperactivation suivies d'inhibition caractérisant la propagation de la dépression corticale expliqueraient les changements de flux sanguin qui ont lieu avant que la douleur ne s'installe.

Le manque de magnésium pourrait promouvoir une dépression corticale, hyperaggregation des plaquettes, affecter le fonctionnement des récepteurs à la sérotonine, et la synthèse et la libération de nombreux neurotransmetteurs.

La meilleure façon d’étudier la vague d’activité électrique à basse fréquence liée aux migraines et à l’épilepsie, appelée dépression corticale propagée, est de placer des électrodes directement à la surface du cerveau.

Les chercheurs ont provoqué une dépression corticale propagée chez les rats, puis ont comparé les enregistrements provenant des électrodes externes et ceux obtenus avec des électrodes placées directement sur le cerveau des animaux.

Leur technique pourrait contribuer à l’élaboration de médicaments pour les migraines et l’épilepsie qui cibleraient la dépression corticale propagée ainsi qu’à une meilleure compréhension d’autres troubles neurologiques.

Le magnésium peut prévenir l’onde de signalisation cérébrale, appelée dépression corticale, qui produit les changements visuels et sensoriels qui sont courants lorsqu’on a mal à la tête, particulièrement la migraine.