Lors de l'impact, la phase de l'un des matériaux change, par exemple par fusion, tandis qu'un autre matériau au moins se fibrilise.

Lors d'un impact, les vaisseaux se rompent et libèrent les agents chimiques.

Le bord tranchant (6) réduit au minimum la tension par unité de surface créée à l'impact sur la feuille et, après perforation de celle-ci, à l'impact sur le dé (10).

Des entailles (19) et une partie avant (18) amincie facilitent la rupture au point d'impact.

L'invention concerne un système de gestion d'énergie d'impact intégré destiné à gérer une large gamme d'énergie d'impact exercée lors de l'impact d'un véhicule (23) avec un objet.

Une structure d'essieu selon l'invention est calculée pour pouvoir se déformer sous un impact.

Le pare-brise (2) cède ainsi lorsque la tête vient heurter un endroit dans cette zone.

L'émetteur de localisation d'urgence a été activé par l'impact.

Ledit détecteur d'impact (4) est placé dans la pointe de l'unité de munitions permettant ainsi le contact immédiat lors de l'impact contre une partie de l'objectif.

Le système de protection multidirectionnel contre les impacts (MIPS) réduit les efforts de rotation causés par les impacts inclinés

Un matériau cible se trouve le long de la voie afin de générer un rayonnement lors de l'impact du faisceau.

Puisqu'il est étanche à l'air, de petites particules peuvent être capturées lors de l'impact de façon économique.

Lors d'un choc du cycliste contre le dispositif de sécurité du guidon, l'élément de sollicitation comprime et absorbe l'énergie générée par le choc du cycliste.

Les différentes couches de la défense fournissent une absorption différente de l'énergie cinétique lors des impacts et dissipent également l'énergie d'impact transversalement sur la longueur de ladite défense.

C’est le matériau qui offre la plus grande résistance à l’impact.