Les recettes non fiscales ont en revanche été inférieures aux attentes.

Les revenus de la publicité imprimée ont chuté, alors que les gains proportionnels des revenus du numérique ont été capturés principalement par Facebook et Google.

Les recettes des taxes indirectes ("Excise taxes") ont fortement reculé et les recettes des impôts des particuliers et des sociétés ont également baissé par rapport à 2019.

Ce tableau indique que les revenus des services filaires de gros sont stables depuis 2012, alors que ceux des services sans fil de gros augmentent.

Ces revenus ainsi que les revenus de l’opium afghans ont gardé les grandes banques occidentales à flot.

Ce sont ces revenus ainsi que ceux de l’opium afghan qui ont permis aux grandes banques occidentales de rester à flot.

Pour cette raison, nos revenus ont fortement baissé, y compris bien sûr les revenus et les dépenses budgétaires.

Ce sont ces revenus ainsi que ceux de l’opium Afghan qui ont permis aux grandes banques occidentales de rester à flot.

Les revenus tirés du pétrole avaient permis au Venezuela de se moderniser rapidement.

Mais les recettes publicitaires ont pratiquement disparu.

Les recettes de l’Etat en subissent le contrecoup.

Ainsi les revenus générés par le pétrole sont tombés de 88% et les taxes et confiscations de 79% entre 2015 et 2017.

En fait, les recettes publicitaires de la radio ont augmenté depuis 1993, et celles de la télévision ont crû régulièrement au cours des 20 dernières années.

Ainsi les revenus générés par le pétrole sont tombés de 88 % et les taxes et confiscations de 79 % entre 2015 et 2017.

Pour la première fois, les revenus de la publicité en ligne ont dépassé ceux des médias traditionnels.