Des tiges de renfort chemisées sont dans les canaux.

La touche peut comprendre des tiges de renforcement.

Un support (1) en béton armé comporte une couche d'armature (2) composée de tiges d'armature longitudinales (5) et d'étriers d'armature (6) qui entourent lesdites barres.

Lesdits manchons sont dans un premier temps glissés sur les deux tiges d'armature.

Des tiges de renforcement supplémentaires (8) peuvent être placées dans ces parties.

Par « treillis soudé », on entend des barres d'armature agencées sur un axe, qui sont assemblées, à distance prévue, au moyen de profilés d'assemblage, et qui peuvent atteindre une longueur de 14 m.

Les parois supérieures (50) possèdent des entailles (74) permettant de faire passer des tiges horizontales de renforcement (66).

On peut placer des tiges d'armature et du béton à l'intérieur des cavités des blocs.

Lesdites barres d'armature (9) sont placées dans les rainures par les personnes utilisant le dispositif.

Sur des profilés (8) angulaires sont placées des barres d'armature (9) sous lesquelles sont érigés trois profilés (10) dont la face supérieure présente des rainures placées à intervalles réguliers.

Des deux côtés des tiges d'armature principales et dans les nervures longitudinales de la dalle on a disposé des tiges supplémentaires.

Couper des ronds à béton, un travail répétitif à risque

Des tiges de renforcement souples (24) s'étendent en longueur et de façon continue à travers les parties poignée et de frappe de balle.

Des éléments de fixation (6) servant à fixer les barres d'armature (22) peuvent être prévus au niveau des cavités (5).

Cette invention concerne un procédé d'application de peintures antirouille adhésives sur des tubes et des tiges de renfort en acier.