La présente invention concerne une méthode de séparation d'échantillons de pétrole contenant une espèce élémentaire d'intérêt soluble dans les hydrocarbures pour faciliter l'analyse de sa signature élémentaire et/ou isotopique.

Une proportion élevée du carbone atmosphérique actuel provient de la combustion des carburants fossile, ce qui est confirmé par les analyse isotopiques.

Les variations de signatures isotopiques de la plupart des éléments chimiques (carbone, azote, etc) sont principalement fonction de leur différence en masse (12C, 13C).

Etonnamment, les échantillons lunaires des missions Apollo montraient une signature isotopique identique aux roches terriennes, mais différentes des autres corps du système Solaire.

Parmi elles, la signature isotopique de l'hydrogène constitue une des « empreintes digitales » des grands réservoirs chimiques du système solaire.

Parmi elles, la signature isotopique de l'hydrogène constitue une des «empreintes digitales» des grands réservoirs chimiques du système solaire.

Mais les os de porcs de la deuxième période ont la signature isotopique du millet, de sorte qu'ils ont probablement été domestiqué à ce moment là.

En les analysant, les chercheurs peuvent déterminer la signature isotopique d’un composé, le rapport unique de divers isotopes qui servent d’empreinte digitale.

Une analyse d’échantillons de peau et de cheveux d’Américains a trouvé une présence majeure de carbone – avec la signature isotopique témoin du maïs.

En 2007, les chercheurs de Caltech ont montré que l’éventualité que Theia possède une signature isotopique identique à la Terre était très petite ((<1 pour cent).

À leur grande surprise, les roches du programme Apollo avaient la même signature isotopique que les roches de la Terre, mais elles différaient de presque tous les autres corps du Système solaire.

C’est ce changement – que l’on appelle « signature isotopique » – qui permet de savoir si de l’eau a été purifiée », précise la chercheure.

C'est ce changement – que l'on appelle « signature isotopique » – qui permet de savoir si de l'eau a été purifiée », précise la chercheure.

Les chercheurs ont suggéré plusieurs autres possibilités pour expliquer la signature isotopique mystérieuse du xénon sur Terre, mais ils ont dû les exclure.

Des scientifiques de l’Université de Miami** ont affirmé avoir découvert une technique permettant de suivre les panaches atmosphériques urbaines grâce à la signature isotopique unique émise par les émissions de particules des véhicules.