Ce rhizome est également apparu comme "galingale" (nom anglais) dans Canterbury Tales de Geoffrey Chaucer.

Elle restaure également la tradition d’utiliser les feuilles de galanga officinal pour donner au riz une couleur verte.

Selon la médecine traditionnelle, le galingale a un arôme épicé et une chaleur qui modère et soulage la douleur.

Sur les vasières, on peut observer les Souchets brun et Michel visibles aussi au Sénégal ou au Niger.

En attendant, la marinade connue sous le nom de Kalas, qui est une sorte de lait de coco contenant un mélange de curcuma, de galanga, d’oignon, d’ail, de coriandre et de kencur.

Quelques épices utilisées à l’époque, mais plus aujourd’hui dans la cuisine française sont les cubèbes, le poivre long (tous deux issus de vignes semblables au poivre noir), les grains de paradis, et le galengale.

C’est également un ingrédient idéal pour soigner les rhumatismes, la teigne, le pityriasis Versicolor, etc. De son côté, la recherche moderne estime qu’il y a environ 1% d’huile essentielle et le camphre odorant dans le galingale.