Ces crédits sont dénommés entre autres prêts d'ajustement structurel ou des prêts d'ajustement sectoriel (Structural adjustment loans ou sectoral adjustment loans).

La Banque mondiale a été pionnière dans le lancement en 1980 des premiers prêts d’ajustement structurel.

Dans les années qui suivent, la Turquie reçoit cinq prêts d’ajustement structurel (jusqu’en 1985).

Ainsi, entre 1980 et 1989, trente-trois pays africains reçurent 241 prêts d'ajustement de la Banque Mondiale.

Entre 1980 et 1983, la Banque accorde 14 prêts d’ajustement structurel à 9 pays [28].

La Banque mondiale a été pionnière dans le lancement en 1980 des premiers prêts d’ajustement structurel.

l’appui aux projets spécifiques de développement institutionnel, souvent dans le cadre de prêts d’ajustement structurel concernant l’économie dans son ensemble ou des secteurs spécifiques;

Le gouvernement a élaboré une série de mesures de stabilisation et d'ajustement appuyées par un ensemble d'accords de confirmation du F.M.I, et des prêts d'ajustement structurel de la B.M. (Banque Mondiale).

Cette figure présente le lien entre la croissance par habitant et les prêts d'ajustement du FMI/de la banque mondiale, des années 60 à la fin des années 90 : la croissance a chuté alors même que les prêts augmentaient.

C’est ainsi qu’un ensemble de mesures de stabilisation et d’ajustement ont été élaborées par le gouvernement et appuyées par une série d’accords de confirmation avec le FMI et de prêts d’ajustement sectoriel de la Banque Mondiale.

Ceci passe par la mise sur pied des prêts aux Etats membres, des reformes institutionnelles, de différentes formes d’assistance technique et de conseil en matière politique.

Ces deux pays avaient accordé à l’AID la gestion de leurs prêts à l’ajustement structurel (en cofinancement avec l’AID).

Des pays traités dans la Lettre de l'océan Indien seuls le Zimbabwe (125 millions $ au titre de l'ajustement structurel) [...]

Comme le FMI, la Banque mondiale émet également des prêts d'ajustements structurels qui imposent des restrictions sur la manière dont l'argent peut être dépensé.